Résoudre des problèmes ?
Au boulot, les problèmes, c’est comme les réunions qui s’éternisent : inévitables. Mais avant de sortir l’artillerie lourde et de foncer tête baissée pour “tout régler”, il y a une arme secrète souvent sous-estimée : la communication.
Parler, écouter, reformuler… ça paraît simple, mais c’est souvent là que tout coince.
🎧 Avant de sauver le monde : on écoute
On a tous ce réflexe : quelqu’un expose un problème, et hop, on balance une solution.
Erreur classique.
La première étape, c’est l’écoute active. On pose des questions, on reformule, on creuse. Parce qu’un problème mal compris, c’est une solution à côté de la plaque. Et ça coûte : du temps, de l’énergie, de la frustration… voire un conflit évitable.
🛑 Pas de blâme, que du game
Un climat de confiance, c’est la base. Si tout le monde a peur de parler par crainte de se faire allumer, les vrais problèmes restent planqués. Résultat : on éteint des feux… sans voir que la plomberie fuit.
On mise donc sur le mode “on va trouver ensemble”, pas sur le tribunal d’entreprise. Et là, magie : les langues se délient, les vrais sujets sortent, et on avance.
✅ Parlez clair, parlez simple
La clarté, c’est sexy.
Adieu les mails-fleuves et les compte-rendus façon saga littéraire. Pour que tout le monde rame dans le bon sens, il faut structurer la com’.
Quelques outils magiques :
Bref, tout ce qui aide à aller droit au but est bienvenu.
🧭 Le feedback : boussole d’équipe
Le feedback, ce n’est pas un jugement.
C’est une boussole collective. Quand il est régulier, factuel et bienveillant, il booste l’équipe.
On passe en mode :
“On ajuste ensemble et on progresse” Plutôt que : “Je t’observe depuis ma tour d’ivoire”
🔄 Spoiler : le changement, ça se gère
À chaque changement, il y en a un qui dit :
“Oui mais avant, on faisait comme ça…”
Normal.
La clé ? Communiquer. En continu.
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Pourquoi on change ?
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À quoi ça sert ?
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Ce que ça améliore ?
Quand les gens comprennent, ils suivent.
(Et même s’ils râlent, c’est plus doux…)
En résumé ?
Mieux communiquer = mieux résoudre.
Et ce n’est pas qu’une affaire de mots. C’est une posture, une culture, un levier puissant pour éviter de courir après les problèmes… et enfin avancer.